un nouveau jour, une nouvelle histoire (suite du 1er sujet)

Il prit son temps et alla prendre une douche.
Puis ayant fini, il prit un cheval et pris la direction de la forêt.

Il entra dans la forêt,
son aigle sur son épaule. Il se senti bien dans cette forêt, un peu comme chez lui.
Le soleil jouait avec les feuilles des arbres, et un souffle doux soulevait des drins d'herbes.
Il arriva prêt d'une rivière. Il descendit et laissa boire son cheval.
Il regarda autour de lui, mais ne vit personne dans ces alentours.

Il huma l'air.
Il sentit le parfum de Lilo, et se dirigea dans sa direction.

Cacher dans les fourrés, ALgalaran cachait son aura de façon complète et jamais détectable.
Il obsverve archange-des-cieux de loin. Il écoute le batement de son coeur, et enten son souffle.

Il avança jusqu'à voir Lilo et lui faire un "ohé" de reconnaissance.

Heureux de la revoir il courrut vers elle. La pris dans ses bras, et tournoya avec elle.

Il senti le regard du moineau qui pouvait le faire repérer.
Il se fondit alors dans le feuillage, pour se rendre invisible aux yeux du moineau qui s'envola vres d'autre fondaisons.

Il s'allongea avec Lilo sous le feuillage d'un arbuste.
Il carressait son corps du regard.

il en profita. il dévia de jets d'eaux pour encore mieux mieux l'asperger. Il riait aux éclats avec Lilo.

Il se releva tout dégoulinant d'eau. Vient voir comme elle est bonne ! Dit il en l'attrapant par la taille pour plonger avec lui dans l'eau.

Il senti une autre présence dans cette forêt. Il se dédoubla, et son clone alla observer cette étrange personne, aussi discrètement que pour archange-des-cieux.

Elle trouva un noisetier et s'installa au pied de l'arbre. Elle sortit une plume et un parchemin qu'elle déroula sur une blanchette de bois qui la suivait partout en guise d'écritoire. après avoir placé sa corne à encre dans le trou qu'elle avait fait, elle y trempa sa plume et chercha ses vers.

Hymne forestier

nota-t-elle tout d'abord. Elle se chatouillait pensivement le menton avec les barbes de la plume.

Ô forêt où toute vie puise son essence...

Ce vers là, elle l'avait déjà pensé avant de venir. Elle ne savait qu'écrire ensuite.

Ô grandeur et magnificence...

Après tout, ça ne sonnait pas si mal.

Tu es lieu de mille plaisances
Et témoin de nombreuses étranges présences.

Termina-t-elle.

J'ai au moins un quatrain pour mon prochain sonnet. se dit-elle à elle-même, pleine de satisfaction, quand un craquement de branches derrière elle la fit sursauter.
Elle se retourna mais ne vit rien. sans doute était-ce un écureil, un renard ou une belette, qu'elle aurait dérangé sans s'en rendre compte.
Elle continua donc de chercher la suite de son poème, sans grand succès cependant.

Il regarda au sol, et ne vit rien lui non plus.
Mais les paroles de cette humaine l'intriguait le plus au point.
Alors il se joigni à l'arbre et descendit au dessus de sa tête.
(il écouta, étant dans le tronc d'arbre, il ne pouvait plus être repéré par quoi que ce soit)

Il la regarda. Il observa les rayons de soleil jouer avec sa peau et ses cheuveux.
Il se plaça alors derrière elle, et lui massa les épaules.