Le baiser fougueux se prolongeait.
Jusqu'à ce que les deux oiseaux arrivent aux perchoirs.
Maître, veuillez nous excuser mais...
Tu n'as pas à t'excuser. Dit-il d'un ton mielleux à son aigle.
Je pense que tu as bien fait.
Cher Lilo, je vous remercie d'avoir comblé mon coeur.
(il l'accompagna jusqu'à l'écurie. Il lui tenait la main durant tout le trajet.)Rorhirrim tu peux venir, ta maîtresse souhaite quitter ces lieux.
Et le cheval sortit de l'écurie.