Arrivé à Sankara

Sujet: Arrivé à Sankara Lun 30 Jan 2012 - 9:22

Nous partîmes Mélindo et moi pour la bourgade du nom de Sankara qui se trouvait sur notre route. Je n'avais aucune idée de se que nous allions y trouver, mais dormir dans un vrai lit était surtout ma priorité. Après une ou deux heures de marche, nous pouvions voir la ville devant nous, mais nous n'y étions pas encore et la pluie commençait à tomber. C’était vraiment pas de chance, encore une petite dizaine de minute et nous aurions put nous abriter. Mélindo commença à courir donc je fit de même. Au moins nous finîmes par atteindre les porte de la ville plus rapidement, mais nous étions totalement tremper. Pour ma part c’était plutôt une bonne chose d’être totalement tremper car ma robe blanche avait été laver du sang qui la souillait, par contre elle me collait à la peau et on voyait un peu au travers. Apres avoir demander la direction de l'auberge à un passant nous nous y rendîmes. Au moins, à l’intérieur il faisait assez chaud donc mes habits pourrait sécher.

- Je vais aller me faire sécher, je reviens après.

Sans m'occuper des personnes déjà présente, je me mit devant le feu de bois pour sécher ma robe.

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Melindo la regarda traverser la salle de l'auberge sous tous les regards, attirés par la transparence de sa robe qui collait à ses formes. Il cessa de la reluquer et sourit quand il s'aperçut que les regards s'étaient tournés vers lui, pensant qu'il était le compagnon de cette magnifique créature.
Il alla s'accouder au bar, commanda un verre de vin et réserva une chambre.
Puis il s'approcha de Katayna, lui apportant une chaise.

Voulez-vous boire ou manger quelque chose, très chère ? lui demanda-t-il au creux de l'oreille.

Le feu, qu'elle douce et agréable chaleur il dégageait. Je fermais les yeux et laissa cette douce chaleur me caresser. Étrangement, je sentais la chaleur augmenter autour de moi comme si les flammes se rapprochaient de moi. Au bout d'un moment, une des flammes me toucha directement, mais pas une des flammes de la cheminé. C’était des un flammes que je voyais dans ma tête, puis une autre et encore une. Une image me revins et même si elle était flou je pouvait sentir les sensation, cette sensation de douleur occasionné par les flammes dansant sur........ moi ? J'étais la jeune personne attaché à un pilier et ligoter avec je ne savais qu'elle vêtement qui me bloquais les bras, tous mes bras. Les flammes dansaient sur moi et me brûlais petit à petit. Dans l'auberge, un de mes bras invisible attrapa une des bûche de la cheminer et, sans la retiré la cassa en morceau. Cela créa un giclé d’étincelle dans la cheminer, mais au même moment, un voix que je connaissais résonna dans ma tête.

- Voulez-vous boire ou manger quelque chose, très chère ?

Je rouvris les yeux, sortant de mon mauvais rêve et regarda autour de moi. Melindo venait de me parler et de m'apporter une chaise. Je le regardais et lui offrit un sourire avant de m'installer sur la chaise.

- Je vous remercie. Je boirais la même chose que vous si vous prenez quelques chose, mais je n'ais pas très faim pour le moment.

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Melindo lui rendit son sourire et retourna vers le bar, où il prit son verre de vin et en demanda un autre. Il retourna vers la cheminée et en tendit un à Katayna, avant de s'adosser au mur près d'elle. Il n'osait cependant pas poser la question qui le taraudait. Elle ne semblait posséder aucun bien, aussi se demandait-il si ils se retrouveraient dans l'obligation de faire chambre commune, perspective assez agréable.

Mélindo repartie en direction du bar, me laissant de nouveau seule. Les images que j'avais vu me revenais en mémoire et les sensation également, pourtant je ne me rappelais de rien de semblable. Je ne savais si j'étais réellement la personne mise au bûcher. Cette perspective me faisais frissonner bien que je ne connaissais pas se qu’était la peur. Mélindo revins et me tandis un verre remplie d'un liquide a l'odeur inconnu, mais alléchante. Le gout était de même en tout cas. En jetant un coup d'oeil dans la salle, je vis d'autre personne qui nous regardais discrètement. Je ne savais pas différencié les humains des elfes donc ils pouvaient être n'importe quoi.

- Dites moi, y a t'il des elfes dans la salle à part moi ?

Quelque chose en moi me disait que lors de mon rêve il n'y avait pas d’être humains donc j'en déduisais qu'ils s'agissaient d'elfe. Savoir qu'ils peuvent vivre éternellement ne me plaisais guère car l'un de ceux qui avait assisté a l'incinération pouvait se trouver ici.

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Melindo eut un air de dépit. Il avait oublié que les elfes avaient tendance à ne vivre qu'entre eux. Il balaya la salle du regard et ne vit aucune oreille pointue, ni même les traits fins caractéristiques des semi-elfes.

Non, je n'en vois aucun. Mais vous semblez troublée, quelque chose ne va pas ?

Sa réponse eu pour effet de m'apaiser. Si aucun elfe n'était présent dans la pièce alors je n'avais aucun soucie à me faire.

- Disons que certain elfes plus vieux que moi pourrait mal prendre mon retour sur se monde.

Dire cela sans précaution, c'était normal pour une elfe venant de renaître dans un monde qu'elle avait quitter depuis 3000 ans.

[hrp : dsl du temps que j'ai mit pour te répondre, je n'ais pas vraiment d'excuse sauf mes études qui on prit le pas sur mon temps libre ^^]

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Melindo haussa les épaules. Si elle voulait lui parler, elle le ferait.

On dirait bien que vous avez des problèmes alors. déclara-t-il d'un ton neutre.

Il prit cela plutôt bien alors j'allais peut-être pouvoir lui raconter et enfin comprendre pourquoi on m'avais juger ainsi. Je n'avais pourtant rien fait de mal. Du même ton que auparavant je lui dit se que je craignais.

- Il y a de cela des années, je ne sais combien exactement, j'ais été juger coupable pour un crime que j'ignore et brûler vive. Je crains qu'un elfe plus vieux que moi me reconnaisse et face passer le mot comme quoi je suis de retour.

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C'était sans doute lors d'une époque d'obscurantisme. dit-il en haussant les épaules.

Il est improbable que vous retrouviez quelqu'un qui vous connaisse, et de plus comme il est improbable que vous ayez survécu, personne ne fera le lien. De plus, les mœurs ont changés, on ne brule plus personne vif depuis des siècles, nous avons une meilleure compréhension du monde.

Comme il disait cela, il s'était subrepticement rapproché d'elle et avait posé sa main sur la sienne.

Quoi ?? je n'aurai pas du survivre ?? Mes yeux changèrent et quand il posa sa main sur la mienne une entaille s'ouvris sur sa main.

- D’après toi je n'aurais pas du survivre ? Donc tu voudrais me voir morte c'est sa ?

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Aïe ! dit-il en enlevant vivement sa main.

J'avais oublié que les elfes et les mages avaient un aussi mauvais caractère. Il fronça légèrement les sourcils.

Et en plus vous comprenez de travers. Je dis qu'aucun elfe ne s'attendra à voir une personne qu'il croit morte. Si pour les gens vous n'êtes plus vivante, vous pouvez commencer une nouvelle vie.

Il jeta un regard alentour, ayant eu peur d'avoir parlé un peu fort et d'attirer l'attention, mais tout le monde était occupé à autre chose. Il reporta son attention sur l'entaille à sa main. Il ne l'avait pas vue venir. Ce n'était pas profond, mais qu'elle soit apparue comme ça lui donnait une idée de la raison de la précédente condamnation de l'elfe. Elle était plus dangereuse qu'il n'y paraissait, et son ignorance provoquait chez elle des réactions imprévisibles. Il allait devoir se méfier.

Je m'étais emporter et l'avais attaquer pour rien. Se n'était pas lui qui voulait me voir morte, bien sur sinon il ne m'aurait pas emmener ici. Je me calmais et me tourna vers lui.

- Pardonnez moi, je vous avait mal compris.

Je prit sa main blesser et déposa un baiser sur l'entaille. Ces parole me rappelèrent celle de l'ange. Lui aussi avait parler d'une nouvelle vie. Et si on m'avait fait revenir pour cela finalement ?

- Comment puis-je commencer une nouvelle vie selon toi ?

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Ce n'est rien, j'essaierai d'être plus clair dans mes propos.

Elle fit preuve de beaucoup de douceur envers sa main, aussi se dit-il qu'elle ne maitrisait peut-être pas totalement ses pouvoirs. Ce court moment agréable procura à Mélindo un léger frisson. Il se ressaisit pour répondre.

Il vous faut trouver un nouveau but dans la vie je pense. Peut-être aussi un autre mode de vie.

Il frissonna encore. Depuis le début de notre rencontre il avait frissonner plus d'une fois a mon contact. J'étais donc a l'origine de cette sensation et cela me fit sourire. Ces paroles par contre me parure un peu étrange, un but dans la vie ?? Pourquoi avoir un but ? et un mode de vie ?? des concepts inconnu pour moi.

- Vivre c'est déjà le but de la vie, non ?? Pourquoi en chercher un autre ?? Et qu’appeler vous un mode de vie ?

Sujet: Re: Arrivé à Sankara Lun 3 Sep 2012 - 17:47

Melindo chercha un moment ses mots.

Votre précédente façon de vivre semble ne pas avoir plu à vos semblables, aussi devez-vous vous conformer à certaines règles qui régissent le monde.

Sujet: Re: Arrivé à Sankara Ven 7 Sep 2012 - 11:33

Ma façon de vivre ne convenait pas a mes semblables ?? Tout en réfléchissant à se qu'il venait de me dire, j'eu un flash-back du mal que mon père et feu mon mari m'avait fait subir. Je revis également une scène de mon passé ou des enfant elfes se chamaillait entre eux et l'un d'eux était le souffre douleur, il recevait les raillerie des autres, les moquerie et autre sans que cela ne gène nos semblables. Si tout cela était accepter par mes semblables, pourquoi ne m'acceptaient-ils pas ?? Pourquoi me rejetaient-ils ?? Je ne comprenais rien.

- Vous parler de regles, mais qu'elle sont elles ?? Pourquoi sont-elles la ?? Qui les a créés ?? Et pourquoi ne me les à t'on jamais enseigner ???

J'avais dit la fin de ma phrase en criant et des larmes avaient couler le long de mes joues. Toutes ces règles, je ne comprenais pas pourquoi on devais se plier a des règles. Pourquoi ne peu t'on pas faire tout se que l'on veux ?? Si nous possédons la faculté de le faire alors pourquoi nous l'interdire !!!

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La situation devenait de plus en plus épineuse... Il fit mine de ne pas remarquer les larmes et reprit sur un ton léger et badin :

J'ignore quelles en sont les raisons, mais il parait que faire souffrir ou assassiner froidement son prochain est assez malvenu. Et, comme je vous l'ai dit, la période qui a vu votre condamnation est depuis longtemps révolue. Seul un elfe assez vieux pour vous avoir connue pourrait nous renseigner. Laissez donc cela derrière vous, il est inutile de vous préoccuper. Vous devriez plutôt... profiter du présent...

Disant cela, il s'était encore rapproché et avait susurré ces derniers mots à son oreille d'une voix qu'il voulait sensuelle.

» le coucher de soleil