Une nouvelle rencontre avec la dame blanche

La nuit venait de tomber une fois de plus sur la vie D'Alragan. Il était aller dans une petite salle adjascente à la scienne. C'était une peitite salle plongée dans le noir. Lorsuq'il referma la porte, il alluma les bougies pa la sul forces enflamer de son esprit. La salle étai de dimension moyenne. Dans le fond de la salle, il y avait une sorte d'autel sur lequel reposait trois statues: L'une représentait le dieu des hommes celui qui était vénéré par ceux que l'on appelait les chrétiens; la deuxième représentaitait l'empereur du chaos, le démon originel; et la troisième, la plus importante pour lui, celle de la Dame Blanche, son amour. Ce soir elle lui manquait plus que tout. Il se mit à genou et pria les statues pour qu'il puisse la revoir ici et maintenant dans cette salle.

Comme chaque fois, il se remémorait ainsi les souvenirs heureux d'avant le drame, espérant qu'elle l'entendait depuis le monde des morts. il ignorait encore que depuis trois siècles, elle vivait à nouveau. En effet, elle était toujours restée cachée. Ilétait le seul à se souvenir d'elle, les siens étaient morts depuis longtemps, car elle n'était pas une elfe. Son prénom s'était perdu, et son tombeau avait été détruit. Elle n'était plus que la dame blanche, éternelle mariée qui errait dans la mémoire d'Algalaran.
Cependant, ce soir là, une vague de froid envahit la pièce. Elle se tenait là, derrière lui, debout devant la porte.

Il sentit une vague de froid anormale lui glacer le dos, et le corps. Il utilisa son énergie magique pour se réchauffer, et raviva la lumière des bougies. Il parla et à la fois pria à voix haute :

Vous créateurs du monde du bien et du mal, vous créateurs de toutes créatures je vous implore de répondre à ma prière. Je ne vous remercierais jaais asez si je pouvais enfin la voir.

Puis il se leva et se retouna :

Que...Ma Dame vous ?! Ici ?

Il tomba à genou, les bras en croix.

Que le ciel me rende grace de vous voir ici ce soir.

Elle ne répondait pas mais le fixait d'un regard mort.

Il se releva et s'approcha un peu plus d'elle :

Pourquoi ne parle tu pas ?

Je suis morte. dit-elle d'un ton distant et glacial.

Il en recula de deux pas épouvanté.

Mais qui vous as tué ?

Mais c'est toi voyons ! elle éclata d'un rire sinistre, tandis qu'une larme de sang roulait sur son visage.

Il en tomba à la renverse.

Moi ?! Mais comment aurais-je tué celle pou qui mon coeur bat ?

Mon maître règne sans partage en mon âme. Il ne m'a pas laissé te l'offrir. J'ai préféré qu'il garde mon âme enfermée pendant ces trois siècles plutôt qu'il me laisse errer à jamais dans le monde des ombres et t'envoie te faire éternellement dévorer par ses démons.

Puis, dans un éclair glacé, elle disparut avec un cri effrayant.

Nooooooooooooooooooooooooooooooon !!!!! Hurla Algalaran

Et dans un geste rageur il envoya valser les stauettes qui allèrent se fracasser sur le mur. Puis il alla dans son lit et pleura.