Mondes Elfiques et Magiques
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 Fiction l'éducation des jeunes nobles

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Melindo Irimar
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Melindo Irimar


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MessageSujet: Fiction l'éducation des jeunes nobles   Fiction l'éducation des jeunes nobles Icon_minitimeMer 28 Oct 2015 - 19:17

L'action se déroule dans l'académie où sont envoyés les jeunes elfes du royaume pendant leur formation. Elle est réservée aux membres de la haute noblesse. On leur y enseigne les mathématiques, la gestion, l'administration, l'histoire, la géographie, la politique, la littérature, la poésie, la musique, la danse, l'escrime, la stratégie militaire, les langues, l'étiquette, et une foule d'autres disciplines utiles. Chacun des étudiants de l'académie a bien entendu ses propres appartements, dont la taille, le confort et la disposition sont attribués en fonction du rang et de la réussite scolaire. Bien entendus, ces jeunes gens sont en pleine effervescence hormonale, et sont voués à s'unir par le mariage dans un avenir plus ou moins proche. Il leur arrive donc de former de petits groupes pour des études d'anatomie.

Rathloriel : fille du duc et de la duchesse de Nevrestir. Elle est plutôt petite, avec de grands yeux gris innocents et une longue chevelure dorée. Son corps est plutôt longiligne, avec de petits seins ronds, un ventre plat et une chute de reins peu marquée.

Tintallë : Fille unique mais illégitime de la marquise d'Essealar. Des cheveux roux qu'elle fait boucler, des yeux couleurs d'ambre, elle est grande, avec une opulente poitrine, une taille fine et une paire de fesses rebondies.

Yvana : future comtesse de Nionosiel. De taille moyenne, cheveux argentés et yeux violets. poitrine moyenne, fesses très rondes, cuisses particulièrement galbées.

Anatar : Prince d'Amargen. Grand elfe brun aux yeux d’émeraude, corps souple aux muscles légèrement dessinés par les divers entraînements.

Gondolin : Professeur de danse et d'escrime de l'académie. Ancien soldat s'étant illustré très jeune sur le champ de bataille. Il n'a que le double de l'age de ses élèves. Il est d'une stature impressionnante et d'une grâce presque inégalée. Ses cheveux chatains lui arrivent aux épaules et sont le plus souvent attachés. Il a des yeux dorés perçants. Pour lui, la danse, le combat et le sexe sont trois choses où les corps doivent savoir s'accorder et se mêler, et, bien entendu, il excelle dans les trois, et, bien que les jeunes elfes de l'académie ne sachent pas ses qualités d'amant car il s'est toujours montré respectueux de leur chasteté, il hante leurs rêves secrets.
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Melindo Irimar
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MessageSujet: Re: Fiction l'éducation des jeunes nobles   Fiction l'éducation des jeunes nobles Icon_minitimeMer 28 Oct 2015 - 20:02

Episode 1

Yvana et Tintallë avaient rejoint Rathloriel dans son petit salon après la classe. Elles avaient eu une journée fatigante, terminant par une séance de danse de deux bonnes heures. Elles avaient donc pris le temps de se changer, optant pour de légères robes de flanelle aux coupes fluides et évanescentes. Elles étaient installées dans les fauteuils, sirotant quelques rafraîchissements en discutant gaiement avant de se mettre à leurs devoirs. C'est alors qu'on frappa à la porte. Surprise, Rathloriel se leva pour aller ouvrir. C'était Anatar, qui venait lui rendre un livre qu'il avait emprunté. Elle le fit entrer un instant. Il portait une combinaison de cuir moulante, qui lui servait pour l'entrainement d'escrime dont il sortait à peine. Il en avait encore les joues rougies, et il dégageait une odeur masculine. Yvana et Tintallë se redressèrent, lui dégagèrent un fauteuil, lui servirent un rafraichissement.

Tout comme ils discutaient, les elfettes se firent plus souriantes, plus amicales. Comme il transpirait légèrement, il délaça son col, et Tintallë commença à s'en mordre les lèvres en fixant sur lui un regard affamé. Yvana l'aida à enlever sa veste pour plus de confort, alors que Rathloriel vint se placer derrière lui, afin de lui masser les épaules.

Malgré sa veste en moins, Anatar n'avait pas moins chaud. Il se leva pour prendre congé, mais ces demoiselles le prièrent de rester encore un moment, et il lui parut impoli de refuser. Cependant, la température était telle qu'il ota sa chemise. C'est alors qu'il comprit son erreur. Les massages de Rathloriel se changèrent en caresses, alors qu'Yvana et Tintallë commençaient à caresser leur corps respectif en le dévorant des yeux et en s'approchant de lui. Sous leurs mains agiles, il se retrouva bientôt nu comme un ver, ne pouvant cacher le très visible émoi que lui procuraient ces attentions. Alors que le jeu devenait plus intéressant, et que Tintallë faisait remonter sa main le long de la cuisse d'Anatar vers une zone plus sensible et dure, Rathloriel lui attrapa le bras pour la faire cesser.

Cela suffit ! dit-elle à ses deux compagnes de jeu.

Yvana et Tintallë la regardèrent un moment ébahies, puis comprirent où elle voulait en venir. Elles s'écartèrent toutes trois d'Anatar, et s'alignèrent face à lui.

Choisissez, votre altesse. lui dit humblement Rathloriel.

Anatar ne sut que répondre et balbutia. Les elfettes se regardèrent d'un air entendu, puis tournèrent de nouveaux leurs yeux vers lui et se dévêtirent. Lentement. Insoutenablement lentement.

Eh bien, altesse ? interrogea Yvana

La situation laissait Anatar sans voix. Ce n'était pas la première fois qu'il se faisait courtiser, mais de la sorte, cela le dépassait. Les trois conspiratrices se firent un clin d'oeil. A la suite de ce signal, elles se mirent à s'embrasser et se caresser mutuellement. Anatar n'y tenait plus. Son érection était douloureusement dure. Mais il ne pouvait toutes les satisfaire à la fois.Comment choisir ainsi qu'elles le demandaient ?

Choisis ou va-t-en et laisse-nous nous amuser. Nous ne voulons pas d'un voyeur mais d'un étalon, et visiblement tu n'es pas à la hauteur. lança Tintallë d'un ton sec.

Son irrespect parut merveilleusement excitant à Anatar. Il se jeta sur elle en un instant, la poussant et la plaquant violemment au mur du fond. Il enfouit son visage dans son cou, l'embrassant et la mordant à la fois, ce à quoi elle répondit par un petit cri de plaisir. D'une main, il lui maintint les bras au dessus de la tête par les poignets. De l'autre, il descendit cueillir le galbe de la poitrine, qu'il malaxa sans douceur, lui arrachant de petits gémissements. Puis, alors que la respiration d'Anatar se faisait rauque, il glissa sa main entre les cuisses de la jeune marquise, les écarta d'une torsion du poignet et commença à doucement caresser sa vulve du bout des doigts, laissant parfois sa paume effleurer le clitoris, la faisant se tordre de désir. Quand il sentit les fluides de Tintallë humecter ses doigts, ils les plongea en elle, provoquant des gémissements plus sonores. Quand elle commença à faire entendre des hoquets, il relacha ses bras, passa une main sous chaque cuisse de l'elfette, et la souleva pour la pénétrer.
Tintallë s'accrocha à lui de toutes ses forces, perdue dans une tourmente de plaisir. Les coups de rein d'Anatar se faisaient plus forts, plus rapides, plus profonds, plus intenses. Elle était totalement à sa merci, coincée, ne pouvant prendre aucune initiative de mouvements, subissant ses merveilleux assauts. Toute à son plaisir, elle savoura l'orgasme qui la traversa comme la foudre, violent et incontrolable, la laissant pantelante et essoufflée.

Anatar la porta tendrement jusqu'à un canapé où il l'allongea avec beaucoup de douceur. Il se retira et l'embrassa avec gratitude pour la jouissance qu'elle venait de lui donner.

Il tourna le regard vers les deux autres elfettes. Elles étaient rouges, en sueur et essoufflées, et avaient les mains entre leurs cuisses. Mais si elles avaient été stimulées par leurs ébats, elles n'en étaient pas satisfaites pour autant. Cela tombait bien. Anatar avait de la vigueur à revendre. Il s'approcha d'Yvana et lui tendit la main.

Si vous permettez, comtesse...

Elle lui prit la main et il la fit asseoir sur une table basse. Il lui caressa les jambes, Puis il fit courir sa langue du petit pied blanc d'Yvana jusqu'à son sexe chaud. Il se délecta de son nectar, léchant, titillant, suçotant selon la sensibilité. Elle avait emmêlé ses doigts dans les cheveux d'Anatar, et poussait des soupirs et des jappements. Puis il s'agenouilla au bord de la table et entra en elle avec douceur. Il commença par un mouvement de va-et-vient d'une lenteur insupportable, lui massant la poitrine. Yvana fut vite impatiente et, enroulant ses jambes autour du corps d'Anatar, elle le força à intensifier le mouvement. Il se laissa faire avec un sourire, plongeant son visage vers les seins de la jeune elfe, embrassant, suçotant et mordillant à loisir, pour le plus grand plaisir d'Yvana. Ils jouirent bientôt à l'unisson, et Anatar prit le même soin d'Yvana que de Tintallë, en la remerciant avec tendresse.

Il sut immédiatement en regardant Rathloriel qu'elle était entièrement submergée de désir. Il s'approcha d'elle d'une démarche prédatrice.

A ton tour. Voyons quelle jument tu feras pour l'étalon d'Amargen...

Il se précipita vers le fauteuil où elle se trouvait agenouillée et il la retourna vivement, afin qu'elle se retrouve à genoux sur le siège et appuyée au dossier. Il mit son organe au chaud dans celui de la duchesse, alors que de la main il allait harceler son clitoris de sensations. De cette manière, ils attinrent le septième ciel en un éclair. Là encore, il fit preuve d'une grande douceur en séparant leurs corps.

Il alla s'asseoir sur une banquette, et les elfettes vinrent toutes trois se blottir contre lui. Puis, remis de ses émotions, il se leva, s'habilla, et, avant de s'en retourner, les étreignit avec un baiser pour chacune. Quand il fut parti, elle se dévisagèrent, réalisant à peine ce qui s'était passé, puis elles se rhabillèrent sans mot dire et se séparèrent en silence, chacune se retrouvant seule avec ses pensées dans sa chambre, le corps vide d'énergie.
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