C'est la guerre ! Aux Armes !

Le coursier, qui avait pour nom Rodjin, courut, courut, courut, longtemps avant d'arriver très essouffler au royaume des nains. Les gardes qui le virent arriver allèrent le soutenir. Revenu devant la porte, l'un resta et envoya un messager prévenir le roi, et un autre pour demander l'arriver preste de deux autres gardes, qui arrivèrent au bout de dix minutes, permettant ainsi au garde qui était rester d'aller aider l'autre à soutenir Rodjin.

Les deux gardes l'amenèrent dabord aux cuisines, pour qu'il mange au moins un morceau, et boire un peu. Puis Rodjin fut amener devant le roi. Le fameux roi, qui s'appelait Bastos, et qui avait été élu roi après la mort de Trod, le reçus. Il était assis sur son trône de terre.

Et bien Rodjin, qu'as tu à nous dire qui soit si important pour arriver ici avec une tels vigueur ?

Seigneur, je suis venu vous dire...Que le village vivant près du mont Niflheim, a été ravagé par une armée de glace.

Le roi fut surpris, mais se contint, et donna ses ordres aux gardes:

Que l'on triple les postes de gardes. Que les femmes et les enfants se préparent à partir. Que les plus fort guerriers s'arment, et que les armes et boucliers soient forgés. Je veux que dans une journée, tout soit prêt. Exécution.

Alors les gardes s'exécutèrent. Le lendemain, tout les villageois enfant, et femmes étaient prêt à partir. Il y avait aussi quelques mages-nains qui allaient partir avec eux, et d'autres qui couveraient leur fuite. Parmi eux il y avait aussi le fils du roi: Bastos II.

Un messager revint voir le roi. Il s'agenouilla, et dit:

Seigneur Bastos, tout les villageois sont prêts.

Très bien, alors préparez-bous à leur dire quand fuir. Je veut que dès la première attaque, qu'ils entrent dans le tunnel. Je vais me préparer.

Le garde sortit. Bastos fit appeler ses armuriers qui l'aidèrent à enfiler son armure.

*Maintenant que c'est fait allons voir comment est composé l'armé de défense.*

Après deux jours de marche dans les galleries souterraines des montagnes. Jotuhn et son armée arrivèrent dans les environs de la capitale Naine: Gorgaïa. Il se prépara et a son signal les troupes s'élançèrent!

POUR LE CHAOS, CHARGER!!!!! Je veux des survivants pour instaurer la terreur parmi les autres peuples.

Ainsi la bataille de Gorgaïa commença!

[Hors RP: Modif ton poste stp]

Les patrouilles étaient revenus dans la ville et étaient en premières lignes devant les entrées. Dans la ville seul les vieux étaient encore dans les maisons. Tous les guerriers étaient éparpiller dans la ville souterraine. Les portes de la ville étaient solidement fermer. Aux premières secousses, tous les guerriers se mirent en gardes.

Lors de la deuxième secousse, les femmes, leur mari, leur enfants, et les quelques magiciens s'en allèrent par le seul tunnel qui ne soit pas visible, et qui soit relier assez loin vers l'extérieur pour échapper à la destruction qui se profilait. Lorsque le convoi fut passer, des ingénieurs nains recouvrèrent l'entrée du passage. Ils le camouflèrent si bien qu'en reculant ils se demandaient presque eux même où pouvait bien être l'entrée. Puis le dernier groupe de magicien qui était rester en faction dans la ville, enchantèrent le camouflage pour qu'il se fonde parfaitement dans la roche, et ils furent impressioners par le résultat. (note:la peur donne des ailes) ils enchantèrent alors le camouflage et un peu plus autour pour que la roche résiste à tout type d'élément. Puis ils s'en allèrent rejoindre les troupes.

Après le dixième coups, les portes commençaient à se fendiller. Bastos prit alors la parole:

Mes frères aujourd'hui est un grand jour, car en ce jour nous allons pouvoir rejoindre la montagne de nos ancêtres. En ce jour de la fête de la mort de notre seigneur Trod, battons nous jusqu'à la mort, et prouvons à tous ceux qui se dresserons sur notre chemin que nous les nains nous avons beau être petit nous serons toujours les plus fort.

Ce petit discours remit du baume au coeur des soldats. Bien leur en fit car les portes cédèrent. Jotuhn et son armée entrèrent dans GorGaïa. Lorsqu'il hurla ses ordres les nains abattaient déjà des monstres en plus de se faire eux aussi tuer.

Lidrug faisait partie des guerriers désignés pour escorter la colonie des réscapés. Les nains devaient se presser, malgré les dissimulations, car personne ne savait de quoi étaient capables les monstres des glaces. Parfois, les enfants trébuchaient et des femmes voulaient s'arrêter, ne supportant pas l'idée que leur mari périsse en les sauvant. Alors, Lidrug relevait l'enfant ou réconfortait la femme de quelques paroles bienveillantes. Après plusieurs heures de course dans les entrailles de la montagne, ils parvinrent à une large cavité creusée. Il alla parler au nain qui guidait la file et lui demanda une pause afin que les plus faibles puissent reprendre des forces. Il parvint à obtenir quelques minutes de répit après d'âpres discussions. Ils s'étaient enfoncés profondément sous la surface du sol et il faisait assez froid. Il fit distrubuer quelques couvertures aux enfants et fit passer sa gourde d'alcool fort entre les hommes, jeunes ou vieux. Il fit également rassembler les femmes, et réorganisa l'ordre de marche, afin que ce qu'il restait du peuple de Gorgaia puisse survivre. Les femmes et les enfants seraient au milieu, à l'avant, les spadassins et quelques archers, ainsi que le nain guide, les veillards, en bout de file, seraient suivis de mages et de guerriers. les hommes artisans se placeraient au hasard entre les civils afin des les soutenir. Les provisions furent distribuées, afin d'éviter toute discorde ultérieure. Les nains reprirent alors le chemin. Lidrug restait auprès du nain guide et surveillait régulièrement la colonne pour interrompre tout départ de dispute. Il fallait se serrer les coudes pour s'en sortir, malheureusement, ce n'était pas vraiment dans le caractère du peuple nain.

Bataillant avec leur courage légendaires, aucun nain n'était prêt à faillir. Hache, et armure de mytrille, flamboyaient plus que jamais pour que les survivants puissent s'en aller en paix.

La batail faisait déjà depuis de longue minute. Bon nombre de fier guerrier était déjà tomber, et leur sang maculait les parois de la caverne où ils se trouvaient. Il ne restait plus qu'un petit groupe, avec leur Chef Bastos en tête.

-Bande de crapiole trouillarde ! Venez goûter aux tranchants de nos haches ! Nous barrons la route de tout ceux qui veulent nous détruirent.

Ce fut alors que les nains encore valide, et fier d'eux entonnèrent leur hymne, et se battirent comme jamais ils ne l'avaient fiat. Usant de leur dernière force pour mourir tels des héros.

-Nous sommes les nains sous la montagne, on creuse le jour, on boit la nuit. Et on n'aime pas ceux de la surface.

Leur chant résonna pendant encore de bref minute avant qu'il ne s’éteigne. Bastos venait de mourir fièrement, la hache à la main.

Tout à coup, il y eut un vrombissement, d'abord faible, puis de plus en plus fort, jusqu'à en devenir assourdissant, s'accompagnant de secousses du sol. Puis, tout s'arêta, et le chant des nains semblait venir des profondeurs de la terre, avant de s'éteindre définitivement. Alors, tous les nains comprirent ce qui s'était passé dans la capitale. Gorgaia et son protecteur n'étaient plus. Lidrug fit arrêter les nains pour se reposer et se recueillir un moment.

Pendant ce temps, il alla deviser avec les nains qui dirigeaient la colonne de fugitifs.

Un nouveau roi vient d'entrer au Panthéon des ancètres. disait le nain qui les guidait dans les couloirs sinueux creusés dans la montagne.

Il va nous falloir un nouveau roi. lui répondit un vieux militaire ambitieux.

Il faut surtout mettre le peuple en sécurité. coupa Lidrug.

Les autres le dévisagèrent avec mépris. Cependant, sa voix résonnait dans le silence. Il se sentit soudain écouté par des dizaines d'oreilles prêtes à écouter ses propositions. Le peuple était le plus nombreux ici, les quelques militaires et politiciens n'y pouvaient rien.

Et que nous propose ce providentiel soldat qui s'improvise régent ? demanda le guide avec amertume et sarcasme.

Lidrug, serviteur du peuple, cherche des solutions pour sauver entre autres une espèce de misérable petit avorton qui craint de salir le bas de sa robe de velour dans la poussière d'un tunnel qui pourrait lui sauver la vie. A ce titre, je vous apprendrais que le sang laisse des taches irrémédiables sur ce genre de vêtements, il serait donc dommage d'en venir aux mains.
le-dit avorton se renfrogna, car le dialogue animé attirait l'attention de tous. Une rixe serait mal venu, et il serait dommage de risquer une guerre civile dans les souterrains, car il n'y aurait pas plus de survivants que face aux géants du givre.

Nous vous écoutons. dit le militaire.

Le peuple des nains, si vaillants soit il, ne peut vaincre seul. Il nous faut passer en territoire allié, et emmener avec nous tous les nains des villages alentour, tous ceux que nous croiserons en route qui seront épargnés, il nous faut entrainer les hommes capables de manier les armes, ainsi que, pourquoi pas, les femmes. Nous aurons besoin de toutes les forces disponibles, car l'ennemi est redoutable. Il nous faudra aussi trouver des armes pour tous les bras vengeurs et libérateurs prêts à combattre, et des armures de toutes sortes pour protéger tous ces coeurs battant dans l'espoir de regagner leur terre. puis Lidrug se tut et observa les réactions autour de lui.

Le fis de Bastos frémit lorsqu'il entendit le chant entonner par la voix à la fois rauque et puissante de son père. Il eu un haut le coeur lorsqu'il entendit les dernières paroles fatidiques, ne laissant place qu'à une mort inéluctable. Lorsqu'il n'entendit plus la voix de son paternelle, il fut sans doute le premier à mettre un genou au sol, et pleurer cette mort, qu'il n'avait jamais souhaiter. Il était situer dans une partie du convoi, où il y avait un peu plus de richesse qu'ailleurs. Il ne savait plus vraiment quoi faire, perdu dans ses propres pensées, perdu dans son désarroi tragique, il fallut qu'un de ses soldats garde du corps lui tapota l'épaule.

-Mon roi, vous devriez écouter ce qu'il va nous dire.

-Je ne sais plus ce qu'il faut que je face.

-Mon roi, toute mes condoléances, mais il est de votre devoir de vous relevez. Ecouter ce soldat. Croyez moi, il ne vous faudra pas longtemps pour comprendre mes dires.

Bastos II s'y résigna. A peine Lidrug eu t'il commencer à parler que déjà, il en buvait ses paroles. A part son père, il avait peu connu de personne capable de parler ainsi. Il reprit alors courage. Un jour ils reviendraient dans leur montagne, mais pour l'instant le meilleur était de réfugier son peuple en lieux sûr.

*A présent je sais ce que je dois faire. Je sais qu'il se trouve un passage, situer à la frontière même de notre montagne, et qu'il pourrait sans doute nous permettre d'aller là où peu de nain voudraient aller. Je sais que ce passage nous emmènerais dans une partie de territoire Elfique, mais je crois bien que nous n'avons pas d'autre choix. Qui sait encore ce que nous réserves ses maudits êtres de glace. L'idée de joindre nos frères à la cause naine sera chose aisée, mais je doute que nous puissions tenir avec nos seul hache. Je ne connais qu'un seul être qui pourrait nous aidez. Il a beau être un Elfe, notre ancien Chef Trod avait combattu le mal à ses côtés et en est mort pour lui sauver la vie. Il est temps pour le peuple nain de lui faire purger sa dette.*

Il se mouva lorsque Lidrug eu fini son discours, plein de promesse pour les batailles à venir. Il réussit à avancer tant bien que mal. Mais au fur et à mesure qu'il se rapprochait du nain guerrier, le peuple reconnaissait les fils de leur roi, et s'écartait pour lui laisser la place d'avancer. Une fois près de lui, il lui parla seulement pour que celui-ci puisse entendre.

]b]-Lidrug, je te remercie pour tes paroles plus que réconfortante. A présent il est de mon devoir en tant que fils de notre défunt roi de reprendre les reines de mon peuples. Mais crois moi, je ne t'oublies pas.[/b]

Puis Bastos se tourna alors vers son peuple. Il lui suffit de lever ses mains aux dessus-de sa tête, ses doigts pointers vers son peuple. Par se seul geste il tut toute les conversations. Puis il s'adressa à celui-ci:

-Nains, naines, et enfants nains. Ce qu'à dit notre désormais Général Lidrug ne doit pas tomber dans l'oreil d'un sourd. Aujourd'hui, les plus vaillants de nos guerriers sont morts en héros afin de nous permettre une nouvelle vie. Ils sont morts en nous donnant l’espoir. L’espoir qu'un jour nous retournions nous puissions revenir dans nos montagnes crainte, et avec honneur. Il fut un jour où les terres aux alentours, les humains autant que les...Elfes, eurent besoin de notre aide. Je sais aussi bien que vous, et croyez moi que le choix me fut des plus difficiles. Il est temps pour nous de suivre la voix que notre ancien chef Trod a tant voulus nous transmettre. Il est mort pour sauver un Elfe qui avant tout était son ami. Celui qui à combattu aux côtés de notre feu-chef Trod à pour nom Archange-des-cieux.

Une rumeur courut dans la salle, au dépard à peine, audible, puis les conversations allairent bon train. Certains était plustot contre l'idée de devoir demande de l'aide extérieur, encore moins avec des Elfes. Mais pour la plus par d'entre eux, beaucoup de souvenaient encore de l'enterrement de Trod, et savaient à quel point il avait été important pour lui de devoir s'unir à ceux qu'ils avaient toujours détester. Puis les voix se calmères, car un autre nouveau venu était monter aux côtés des deux autres compères. Celui-ci était un ancien, le chef du grand conseil. Lorsqu'il parla, le seul son de sa voix apaisa tout les coeur, et embrasa alors la petite flamme que Lidrug, et Bastos II avaient commencer à allumer.

-Moi, Galbin, le grand chef du conseil, déclare solennellement Lidrug général de notre futur armée, mais aussi je déclare Bastos II, que nous appèlerons désormais Albin, comme notre nouveau souverain. Aussi vous tous membres fières de la race des nains, mettons nous en route avec la joie qui nous est dus. Pour que nos guerriers ne soient pas mort en vain, reprenons la route afin de sortir de notre montagne. Rassemblons tout les peuples nains à la cause qui es notre, et formons la plus intrépide des armées, dont nous les nains seront le fer de lance.

Une ovation des plus impressionnante s'éleva alors le long de la colonne, qui se remit en marche avec joie, gaîté et aussi heureuse. Heureuse de l'ordre qui se mettait en place, effaçant le flou, pour laisser place à un but des plu prestigieux qui leurs fut donner dans leur vies de nain: Quitter leur montagne, pour en revenir plus aguérit que jamais afin de revenir vivre une nouvelle vie. Une sorte de pèlerinage en quelque sorte.

Lidrug se plaça près de son roi, et lui parla bas.

Permettez-moi de me mettre entièrement à votre service, et à faire le serment de vous protéger pour que vous puissiez accomplir votre destin : ramener notre peuple dans ses montagnes, dans la paix et l'honneur. Je vous servirai sans défaillir et sans trahir.

Gorgaïa brulait, le feu des géant n'etant pas normal. ct un feu de glace détruisant tou seul un feu normal le détruisait. Jotuhn erra dans la caverne de la ville pesta contres tout ces nabots qui avit fait perdre du temps a son armée mai selon ses dires tout les nains avait péri.

Jotuhn le savai la population de la ville avait fui et trouver des tunnel ne serai pa aisée il ordonna donc a son armé le demi- tour . une fois dehors les ponts de glaces reliant les mmontagnes serai formé par les pouvoirs du gel antique. Son armée etant pourtant au mieu en raison des inombrables cohortes de géant et de monstres venant de Midgard. Une de ses armée pourait lui permetre de prendre l'avantage dans la guerre qui se préparait. Une race d'aigle résistant au plus basse tempérautres et se déplacent a grande vittesse... peut-etre que les autres peuples pourait aussi subir son courroux... Auparavent il lui fallait faire quelque chose. Il savait qu'il existait un sort très puissant lui permaitant de faire venir l'hiver sur toute une contré. Mais ce sortilège le viderai le laissant vulnerable pendant un temps indeterminé.

Oui, il savait. Dans sa retraite du mont Nilfeim il serait intouchable et dans le cas ou une personne arriverait jusque la il lui resterai asser de pouvoir pour la détruire. Son alliée la dame Blanche guiderai ses troupes ... a sa requete. Il la formula donc soignesement car il savait que grace aux quleques jour passé en sa conpani quelle était très changeante d'humeur:

Moi Jotuhn j'apelle la Dame Blanche mon alliée puisse t'elle répondre a ma requete...

Il pensait q'advienne que pourra.

Elle vint à son appel. En réalité, elle avait été présente tout au long de la bataille, cherchant le passage emprunté par les nains rescapés.

Me voici. Qu'y a-t-il ?

Je ne serai pas présent durant une certaine période. je te demande donc de guider mon armer vers d'autre peuples a détruire je te laise le commandemant de mon armée. Approuve tu?




Les secondes s'égrenèrent grosse comme des avalanches

Je te remercie. As-tu une préférence sur les peuples à envahir ? Faut-il plutot chercher à poursuivre les nains ?

demanda-t-elle avec cruauté

Tu a carte blanche

Très bien...

Puis elle alla rejoindre les troupes.

Les nains marchèrent pendant quelques temps avant de pouvoir sortir hors de portée de l'envahisseur, et de leur très cher montagne. Bastos, fit faire un arrêt dès que tout le monde fut sortis, afin de faire une dernière prière à leur guerrier mort au combat, en leur jurant sur leur honneur de nain, qu'ils reviendraient honorer leur mort, comme il se doit. Tout les nains se tinrent en recueillement durant une bonne dizaine de minutes avant de se remettre en route. Ils attendirent le repas, pour pouvoir faire un bivouaque, et réorganiser les grader, le conseil, ainsi que le rôle de chacun dans l'exil qu'ils avaient dus entreprendre.

Il y eu une petite cérémonie, afin de parfaire le rôle de certains. Un ancien était présent au milieu de la foule naine, qui 'était rassembler en cercle autour de Trod et Albin, leur roi.

[color=blue]-Moi, Galbin, suis désormais reconnus comme le chef du conseil des anciens. Albin, est définitivement reconnus comme votre roi, et toutes ses décisions devrons être prise avec le conseil. Toutefois, si nous nous retrouvions en état d'urgence, en temps que roi, il prendra les pleins pouvoirs et fera ce qu'il juge nécessaire, mais seulement durant ce temps d'alerte. Si il venait à ne pas respecter cette règle, nous nous verrions dans l'obligation de l'exécuter. Roi Albin, est tu daccord avec cette règle ?[/color]

-Oui, je le suis.

-Très bien. Et toi Lidrug, toi qui te veux chef de notre armée, te sent tu digne d'accepter ce rôle, autant que d’accepter celui de protéger notre roi, quitte à y perdre la vie, pour que la sienne soit sauf ?

Après l'exode nain et la bataille Hyrramfeuer vint retrouver ses amis les nains, mais en arrivant dans la grotte il vit la ville en ruine, les cadavres par terre, et pour leurs plus grand malheur des géants en vradouille; ni une ni deux il vit rouge et fit passer un sale quart d'heure aux deserteurs.
Durant la bataille un jet enflammé percuta le mur juste sur le tunnel nain. Suivant a la trace ses protégés il marcha et arriva a la lisière du pays des elfes. de grandes ailes poussèrent dans sont dos et il s'envola suivant a la trace les Nains. Au loin il vit le chateau de Shaiya. La piste menait la bas.

Lidrug avait quant à lui répondu d'un air solennel qu'il ferait tout pour protéger le roi des nains et son peuple.