Attente

Contrairement à ce qu'elle avait annoncé, la reine ne se rendit pas à sa chambre. Elle alla dans celle d'Algalaran, et s'assit sur le lit en attendant qu'il vienne.

Le banquet fini, il s'en alla. Un page vint le rencontrer pour l'amener à sa chambre afin d'y voir les préparatifs pour son déménagement. Il le suivit. Il regarda un peu, puis il alla à la bibliothèque. Là, il vérifia que personne ne le regardait. Il ferma la porte à double tour, cacha le mirroir, et alla dans la bibliothèque interdite. Pour plus de surté il modifia son apparence. Puis il alla prendre la livre maudit. Il résista cette fois ci à l'envit de l'ouvrir, et alla à la fenêtre du bureau. Là il prononça une formule magique dans une langue qui emontent aux temps de jadis, et le livre se trans forma en 5 aigles noirs qui priren leur envole vers le château.

Puis il remit le bureau en odre. Il rangea des papiers, les mist dans une valise et sortit du bureau, et ferma définitevemnt cette salle-ci. Un page pasa par là, e il lui donna les clefs. Puis un autre vint à sa rencontre et le conduisit à une grande calèche. Il fut invite à y entrer. Les bagages finnissaient d'être charger. Puis ce fut le dépard. Algalaran regarda par la fenêtre arrière, le château s'éloigner.

Au bout de 2 heures de routes ils arrivèrent devant le château. Les pages du château vinrent, et emmenèrent les affaires à l'intérieur.

-Conduisez moi à ma chambre je vous prie.

Un page l'y amena. Avant d'ouvrir la porte, il prévint Algalaran.

-La reine vous y attend.

Il ouvrit la pote, laissa Algalaran entrer, et referma la porte. Lorsqu'Algalran vit la reine, il tomba à genou, et posa les mains au sol devant lui.

Ma reine, je vous remercie pour le titre que vous m'offrer, et pou la confiance que vous avez à mon égard.

Redresses-toi ! montre-toi plus digne de ton statut ! dit-elle d'un ton autoritaire.
De plus, tu n'es pas seulement là à titre honorifique pour ta bravoure au combat.

Il se relava et adopta une posture fière.

Je le sait ma reine. Mais je me devait de vous remercier. Puisque ma façon de vous remercier ne vou a pas plus accepte celle-ci.

Il s'approcha de la eine. Il pasa sa mmain doirte dans ses cheuveux, et l'embrassa langoureusement.

Elle jeta un coup d'oeil vers la porte puis le repoussa violemment.

Comment osez-vous baron ?

Puis, quittant la pièce, elle se retourna vers lui en ouvrant la porte, lui envoyant discrètement un baiser. Elle disparut ensuite dans le corridor, marchant d'un pas précipité avec un air de fierté offensée. Elle gagna alors le scripturium, où elle écrit un billet pour Algalaran. Puis, elle délia les cordons d'une petite bourse de soie, et en sortit un anneau d'or, où se trouvait le sceau de Lossälorë. Elle déambula ensuite un moment dans le chateau, avant de finalement retourner à la chambre du baron.
Elle frappa et entra sans attendre de réponse. Algalaran était encore éveillé.

Vous ne m'avez pas laissé le loisir de vous remettre plus tôt le sceau de Lossëalorë. Le voici, il fallait que je vous le donne rapidement, car je pars dès l'aube pour Shaiya.
Bien, nous nous verrons à la séance du conseil de la semaine prochaine.
Adieu messire.

En partant, elle déposa le sceau sur une petite table, et y glissa discrètement le billet, puis ferma la porte derrière elle et gagna sa chambre.

le billet contenait ces mots, d'une belle écriture fluide et finement calligraphiée. :
Algalaran, les barons ne voient pas ta nomination d'un bon oeil, et feront tout pour s'en prendre à toi, ce dont je ne veux pas leur donner l'occasion. Ils craignent pour leur statut, et ils ont raison, car je ne t'ai pas élevé au rang de baron du plus grand domaine du royaume uniquement pour ta bravoure. Je te charge de les surveiller, tu seras dans leur sphère, tâche de connaitre leurs intrigues, sans te faire remarquer, pour cela, tu devras jouer de finesse, car ils ne te feront pas confiance, et risquent de te pièger pour se débarrasser de toi.
Ils semblent avoir remarqué que je suis ton point faible, c'est pourquoi je fus si brutale, mais j'accepte tes remerciements, bien qu'un peu couts. Tu seras probablement constamment espionné pendant un certain temps.
Ne laisse pas trainer cette lettre, méfie-toi des serviteurs et des pages, en fait, méfie-toi de tout le monde.
Bon courage.
Artanis Kementari, dame de Shaiya, reine d'Eolie.

La reine entra de nouveau dans sa chambre.

Vous ne m'avez pas laissé le loisir de vous remettre plus tôt le sceau de Lossëalorë. Le voici, il fallait que je vous le donne rapidement, car je pars dès l'aube pour Shaiya.
Bien, nous nous verrons à la séance du conseil de la semaine prochaine.
Adieu messire.

En partant, elle déposa le sceau sur une petite table, et y glissa discrètement le billet, puis ferma la porte derrière elle et gagna sa chambre. Algalaran se leva de son lit, et s'approcha de la table. Il prit l'anneau du sceau dans une de ses mains et le regrada. Il avait la forme d'un Aigle devant un arbre centenaire. Puis il le mit à son annulaire gauche. Une ifime partie de magie noire entra alors dans l'anneau. A ce moment précis, seul son anneau aurait la possibilité de pouvoir frapper un document. Aucune copie, meêm réaliser au moindre grain de matière n'aurait la possibilité de le faire. Puis il prit le billet et le lut du début à la fin. Il pleura. Quelques minutes. Puis, avisant les buches dans sa cheminée, il les emflamma d'un geste, puis y jeta le billet.

*Rasurer vous ma reine. Jamais au grand jamais ils ne le sauront.
Mais un jour, je seais à vos côté, et ce jour là, vous pourrez voir à quel point j'aurait été capable de tout. Mais ce jour là vous changerz aussi, car mon collier sera vautre, et votre âme m'appartiendra.*

Le soir tombait. Il demanda à l'un de ses serviteurs de lui amen à manger ce quil fit. Puis une fois eul ALragan créa une peite multitude d'insecte, qui inspectèrent chacun des aliments, chacune des odeurs, et chaques composants. Au bout d'une heure ils disparurent n'ayant rien trouver. Alragan réchauffa les plats par magie et mangea à sassiété. Puis il se leva et alla dormir.

Alors, grâce à la magie des songes, il se retrouva devant la haute tour d'un chateau presque immatériel, d'un blanc immaculé qui reflètait avec douceur les rayons d'un soleil d'hiver. Il l'ignorait encore, mais Artanis Kementari se trouvait dans la chambre au sommet, assoupie dans un lit de soie blanche et d'or.