Algalaran, le conquérant

Il se saisit de son deuxième sabre et repoussa le baron.
Il le rengaina, et il remit son épée en joue, face au baron.

Le baron mena alors une attaque rapide, et parvint à atteindre Algalaran au genou gauche.

Il renvoya la lame, qui lui avait malencontreuseument entailler le genou gauche. Une légère aura de couleur sombre enveloopa la lame. Puis il leva son épée et fit mine de frapper le baron. Celui-ci esquiva, alors que Algalaran lachait son épée, et de son sabre, entailla le bras droit du baron.

Le baron, qui avait gardé son sabre au fourreau, attrappa rapidement l'épée qu'avait laché son adversaire, malgré sa blessure., car l'entailla n'était pas profonde. Puis il s'approcha d'un air menaçent d'Algalaran, faisant tournoyer les deux épées autour de lui. Il frappa de droite, coup qu'Algalaran para, puis de gauche, d'un coup de plat de l'épée sur la hanche d'Algalaran, il le déséquilibra.

Il tomba à terre. Le baron leva ses deux épées, et voulus couper Algalaran.
Mais celui-ci esquiva, et fit un cro-en jambe surla cheville gauche du baron.
Celui-ci tomba à la renverse. Algalaran s'écarta et récupéra son sabre qu'il remit au fourreau, et récupéra son épée. Mais au moment où il la récupéra le baron apparut devant Algalaran, l'épée pête à être plante dans son oeuil gauche.
Par un réflexe titanesque, le coup fut esquiver, et Algalaran contre-attaqua, en entaillant le torse du baron. Puis il s'esuya le front du revers de sa main et y vit du sang. L'épée du baron lui avait fait une légère entaille au niveau de l'arcade sourcilière.

Le baron reprenait son souffle tout en tournant autour d'Algalaran à bonne distance. Il était certes affaibli par sa blessure, mais l'oeil d'Algalaran commençait à s'engluer de sang, le privant de la vue de cet oeil jusqu'à la fin du combat. Le baron fit alors en sorte de rester dans l'angle mort, où il ne pourrait être vu de son adversaire, et attaqua avec force, chargeant, l'épée en avant. Il devait faire vite et bien, car sa blessure saignait abondemment, et sa vue commençait à se troubler. Il parvint à frapper Algalaran à l'épaule, et esquiva la riposte suffisament pour n'en garder qu'une erraflure.

Il sentit le sang qui coulait sur son oeuil se coaguler. Il ne pouvait plu voir le baron de cet oeuil si. Le baron devenait beaucoup plus rapide à mesure que les secondes passaient. Il avait l'impression que le baron redoublait de force avec une énergie qui ne venait pas de lui. Mais il continua de se battre, évitant comme il le pouvait la lmae meurtrière du baron.

Le combat dura encore plussieurs minutes. La rage animait autant le baron qu'Algalaran. Mais le baron avait le dessus. Il frappait et frappait encore, jusqu'à ce que la lame d l'épée d'Algalaran se brise. Algalaran réussit à entailler la cuisse gauche du baron, mais il fut projeter au sol et le baron le retourna sur le dos. Algalaran était à bout de souffle.

Le baron le va la lame au-dessus d l'oeuil droit d'Algalaran.

Meurt Algalaran.

Et il abbatit sa lame. Mais elle n'atteignit jamais Algalaran. Une aura rouge vif avait entourer son coprs. Il puisait dans la force psychique du gardien maléfique. Il s'était relever et avait planter son sabre dans le coeur du baron. Puis il le décapita, et du sang à grand flot se déversa sur le sol.
L'aura d'Algalaran se dissipa et Algalaran s'effondra sur le sol, inanimé.

Il revint à lui dans une magnifique chambre dont les murs d'un blanc éclatant étaient ornés de dorures, tout comme le lit où il était couché. Les draps étaient de soie blanche brodée de fils d'or. Ses blessures avaient été pansées, et il avait été débarrassé de sa cuirasse contre une superbe robe de soie pourpre et or. Quand il se redressa, il aperçu, dans l'angle, près dela fenêtre, une silhouette de femme maintenant familière, qui brodait en chantant d'une voix suave et douce. Il n'était cependant manifestement plus au palais de la reine, bien qu'elle fut devant ses yeux, brodant dans la lumière du soir, qui la baignait d'or, faisant étinceler sa chevelure blonde. Elle n'avait pas remarqué son réveil, et brodait une bannière, assise dans l'alcôve de la fenêtre du chateau de Lossëalorë. Elle s'y était temporairement installée, pour y préparer les funérailles du baron. Son beau visage était grave, penché sur l'ouvrage.

Il regarda catte scène d'un oeuil poète. Il crut voirune superbe peinture qu'il avait déjà eu l'honneur de voir.

Qu'elle est belle. Pensa t'il

Il ferma ensuite les yeux et fit le check-up complet de ses organes.
Apparamnts aucun ne manquait à l'appelle. Puis il garda le yeux fermers et écouta le chant des oiseaux. Quel bonheur, d'être dans un lit douillet et d'entendre ce chant d'oiseau méler à celui de la reine.
Il écouta ensuite plus attentivements les battements de son coeur, puis écouta celui de la reine.
Puis se rendormit.

La reine allait cependant toujours chantonnant et brodant sa bannière, au dragon d'argent terrassant un lion d'or sur un fond sinople.

Il se reiveilla une deuxième fois.
C'était le matin, et la reine n'était ps dans la chambre. Le soleil filtrait a travers les rideaux de la chambre. Il pouvait entendre le chant des poiseaux et le bruissement du vent dans les arbres. Il se sentait heureux.

Il réussi à se lever après quelques essaies. Il fit apparaître un grand bâton de bois poour lui servir de béquille qu'il se mit sousle bras et s'approcha de la fenêtre. Il ouvrit les rideaux et se qu'il vit l'enchanta.

Il pouvait voir des arbres magnifiques au feuillage vert pomme, brodant une rivière d'un belu tendre. Des fruits de toutes les couleurs étaient suspendus aux arbres. Il ne se lassait pas de cette vus

Un peu plus loin, une procession, toute vêtue de noir,emportait la dépouille du baron vers sa dernière demeure. En tête de cortège, une magnifique femme blonde, au corps encore jeune mais qui avait connu bien des âges, marchait d'un pas lent derrière la banière au lion d'or,à laquelle avait été cousu un ruban noir. La reine de vait finir de présider la cérémonie, mais malgré son visage grave et son air de circonstance, ce n'était pas l'état du défunt baron qui la plongeait dans de si sombres pensées. Elle était très préoccupée. Derrière sa façade suivant le protocole, elle bouillait d'impatience que les obsèques se terminent, pour retourner au chevet d'Algalaran, dont l'état l'inquiétait, surtout en raison du grand choc magique qu'il avait reçu. Ses compétences de guérisseuse semblaient inefficaces, aussi son anxiété grandissait-elle à chaque heure qui passait, car cela faisait désormais trois jours que le combat était passé, et il n'avait toujours pas repris connaissance, du moins à ce qu'elle croyait.

*Hors RP: J'ai choisit de faire mourrir le gardien maléfique, et donc c'est pour cette raison que je le fait parler avec Algalaran*

Le sang du gardien maléfique coulait à pésent dans ses veines. Il sentait toute la puissance de son maître. Une grande puissance venu des plus profondes noirsseurs de l'histoie des ténèbres agissaient dans son corps. Il s'approcha d'un des murs de sa chambre et y aposa sa main.

Le miroire des tèbres.

Et un cercle au halo noir apparus, et au bout de quelques instants le visage de son maître apparus.

Algalaran, il est temps pour moi aujourd'hui de te léguer une parite de mon pouvoir.

Déjà ? Mais votre état ne vous le permet pas!

Algalaran, mon coprs ne pourra jamais reprendre la force qu'il avait avant.
Pour que je puisse revivre pleinement il me faudrait un nouveau corps, dans lequel je puisse implanter mon espit et lui transmetre mes pouvoirs.

Mais qu'arriverait il à cet être ?

Si il avait un penchant plustôt du bon côté, il deviendrai maléfique, mai si cet être était déjà mélfique cela ne l'influencerait pas plus. Par contre Si je lui lègue mon esprit, il héritera de tous les piuvoirs don je disposerait. Car je ne tient pas à ce que certains de mes pouvoir allent à une personne que je n'aurais peut être pas eu le temps de connaître.

Un halo noi entoura Algalaran qui sentit les pouvoires entrere en lui et imprégner sa chai et tout son corps.

Algalaran, par le pacte maudit des 5 démons empiriques je te donne les pouvoires suivants: la création de portes de n'importe quelle monde vers celui où je me tients où l'inverse; la maîtrise de l'esprit de tout mes espions qui se tiennent en ce mode et celui des ténèbres; et je te fait cadeau de mon collier maudit.

Le Gardien maléfique lui montra le collier : il était constituer de perles or et noires, et chacune se reliait entres elles pour se joindre sur une boule rouge sang aux reflets noirs.

Lorsque le moment sera venu, met ce collier autour du coup de celui ou celle que tu concidèrera comme successeur. Il restera invisible tant que tu ne pourra le poser autour du coup de mon successeur.

Très bien maître.

Adieu Algalaran, et que les démons des enfers t'accompagne et t'aide dans ta quête.

Le mirroir disparut, et Algalaran retourna dans son lit. Il pensa: Ma reine, votre destin aujoud'hui vien d'ête sceller.

Et il s'endormit, pour se réveiller au coucher du soleil.

La reine s'était endormie dans un fauteuil, une chandelle brûlait près d'elle.

Il regarda la reine dormir. Il entendait le battement régulier de son coeur, il sentait son parfum, son odeur. Il nétait ennivrer. Il se leva son lit, et à peine sortit, une robe de chambre lui couvrit le corps. Il s'approcha de la reine, et lui baisa les lèvres. Il lui sussura à l'oreil:

Je vous aimes ma reine.

Il la prit délicatement dans ses bras et la coucha dan le lit à côté de lui.

C'est alors qu'elle s'éveilla. Quand elle constata qu'Algalaran était éveillé près d'elle, elle fut très surprise, puis la joie illumina son visage.

Tu vas bien ?demanda-t-elle, encore un peu inquiète.

Algalaran lui rendit son sourire. Il pensait à sa beauté, au parfum des cheveux de la reine.

Oui, je vais beaucoup mieux.

Il lui caressa la joue t l'embrassa.

Elle se laissa faire.

Je dois faire les préparatifs pour la présentation du nouveau seigneur de Lossëalorë. dit-elle ensuite, en se levant.

Accepterais tu un présent de ma part avant d'y aller ?

Il fit apparaître son collier autour du coup.

Très bien.
Il se leva, et créa une porte-dimensionnel via le mirroir de la chambre pour pouvoir rejoindre sa salle de travail. A tout de suite. Dit il en traversant le mirroir.

Plutôt à demain, nous ne nous verrons pas avant la cérémonie. Puis elle quitta la chambre.