Parcourt le jardin

De bon matin, Avelaneta sortit dans le jardin. Elle s'installa au pied d'un arbre et écouta un moment les oiseaux s'éveiller. Se trouvant à son aise, elle saisit promptement sa tablette et commença à noter quelques vers sur les Eléments.

Sois comme le feuillage au vent,
Souple, léger et chantant.
Sois comme l'eau de l'océan,
Fluide, doux et dansant.
Sois comme la terre des champs,
Fort, solide et résistant.
Sois comme le feu du volcan,
Insaisissable et brûlant.
Connais le Feu, connais la Terre,
Connais l'Eau et connais l'Air.

Puis elle se mit à fredonner un air, essayant d'y faire rentrer les paroles, avec assez de succès.

Après s'être réveiller il avait décider de s'en aller dans le jardin.
Là, il y trouva Alvelaneta. Pour ne pas la déranger il s'accroupi dans l'herbe et la regarda, en écouta son fredonnement.

Elle continua à chantonner jusqu'à ce que l'air soit au point. Puis elle se tut, écoutant les bruissements du jardin.

Il s'était appalatit dans l'herbe et faisait comme elle.

Moi, je me tenais là derrière, et me glissais subrepticement jusqu'à ces deux grandes créatures et les observais. Malheureusement, il ne se passait rien. alors, je me cachai dans un petit trou et lançai une petite pierre à côté de la jeune fille, pour qu'elle se retourne et vit qu'elle n'était pas seule.

Il se leva sur ses quatres pattes, la truffe au vent et les oreilles aux aguets.

Il me semble qu'il y a quelqu'un ou quelquchose qui nous observe, pas toi ?

Il huma l'air et mis un certains temps avant de repérer une odeur de terre différentes.

Il y a deux odeurs de terres qui se promènent dans l'air.
Ce qui veut dire que celui ou celle qui nous bserve ne doit pas être loin.

En tout cas, je peut dire que cet être n'est pas froncièrement mauvais. Dit il en continuant de flairer au ras du sol.

Je me mis alors à lancer des pierres sur l'horrible bête aux grandes dents pour la chasser.

Il reçus des cailloux sur le haut du crâne. Et il sutilisa l'angle d'inpact pour finalement tomber sur un tout petit être. Il lui montra les dents.

QUe fait tu ici ?

ça ne regarde pas les grandes bêtes au souffle puant ! Je viens voir la dame à la voix douce. répondis-je.

Les grandes bêtes à souflle puant ont un odrat plus dévelloper que le tint créatue de la terre.

Il l'attrappa par une oreil et l'envoya valdinguer à côté d'Alvelaneta.

Je retombai sur mes pieds devant la jeune fille, et je ne tournai plus un seul regard vers la méprisable bête.

Bonjour Dame, cela fait longtemps que je vous cherche. Nous devons y aller, vite, vite ! Maître Taliesin attend.

Comme elle ne bougeait pas, j'attrapai le bas de sa robe et me mis à avancer, espèrant l'entrainer avec moi.

Mais, lâche moi ! tu es fou ! riposta-t-elle.
Je n'ai aucune envie de te suivre, je ne sais pas qui tu es, je n'ai jamais entendu parler de Taliesin !

Moi ? Je suis Tudig, pas fou. Maître Taliesin c'est lui qui m'envoie chercher la dame aux yeux de noisettes et à la voix douce comme du lait. Il m'a dit que je devais lui amener, très important, et très vite, maître Taliesin est un vieux très vieux monsieur aux chansons, comme vous, dame. Allez, il faut se dépêcher, mantel sur le dos, sac sur l'épaule, et on s'en va vite vite vite chez vieux maître Taliesin. M'empressai-je de dire. Etait-elle sotte ? Il était de la plus haute importance qu'elle me suive.

Je ne comprends absolument rien à ton histoire. dit-elle, mais devant l'insistance de l'étrange personnage, elle décida qu'elle le suivrait. Cependant...
Tudig, je viens juste d'arriver ici, ça ne serait pas poli de partir comme ça. Laissez-moi au moins remercier mes hôtes.

J'attends jusqu'à ce que le soleil mette le feu au ciel avant la grande ombre. Même si c'est très étrange, quel mot déjà, "poli" ? Existe pas chez nous ça. Pas d'hôtes non plus, tous des voleurs les invités. Puis je repartis en grommelant à travers les herbes, me soustrayant immédiatement à leur regard, à elle et à la brute. Je surveillais cependant le moindre fait, le moindre geste.

C'est une bien étrange rencontre ! dit-elle en se tournant vers le loup.
J'ai jusqu'au coucher du soleil pour faire mes adieux à tout le monde. Cela fait beaucoup de choses bizarres qui me sont arrivées en bien peu de temps. Elle s'assit dans l'herbe, l'air las et abattu.

Si tu veut savoir, cette créature, je ne lui fait pas confiance. eT cette odeur de malice visieus m'écoeur. Malgré sa je pense qu'il vaudrait mieux que tu y aille, je sent une odeur de mal, je sent que le mal le plus noir s'abbatra sur nos terres.

Il se dupliqua.

Celui-ci s'appelle Mar 2 et te suivra parou où u ira. Ce sera pour moi le moyn de veiller sur toi.

Lilo les rejoignit à cet instant.

Bonjour mes amis, que la lumière jaillisse sur vous et vous montre la voie. Vous me semblez bien soucieux et abattus, allons, allègez vos coeurs, le monde n'a pas besoin de larmes en cette douce matinée.